• Saint Patrick

                       Photo perso prise le 2 septembre 2006 "Croagh Patrick"

    Au-dessus de la Baie de Clew, c'est un lieu de pèlerinage le plus fréquenté par les catholiques irlandais. 765 m pour atteindre la statue de St Patrick. Du sommet de cette montagne sacrée, le panorama sur l'océan est de toute beauté...

     

    La Saint Patrick est fêtée le 17 mars par les Irlandais pour honorer St Patrick mort ce jour-là  (17 mars 461). A 16 ans, Patrick, jeune gallois d'une famille chrétienne, est enlevé par des pirates et vendu comme esclave en Irlande. Il y passe six ans puis s'enfuit et retrouve ses parents. Après un séjour en France où il est consacré évêque, il se sent appelé à revenir dans cette Irlande de sa servitude pour l'évangéliser. Il y débarque en 432 et multiplie prédications et conversions dans une population dont, par force, il connaît bien les coutumes et la langue. Il est considéré comme le fondateur du christianisme irlandais. Il utilisait le trèfle pour illustrer la Sainte-Trinité, le Père, le Fils et le Saint-Esprit. Le Trèfle est devenu l'emblème national d'une Irlande très catholique. Le vert est la couleur de la Saint Patrick, vert comme le trèfle (shamrock  en anglais) et comme le printemps qui arrive. A la St Patrick, on fête aussi les farfadets (leprechaum), de petits elfes qui fabriquent les souliers des Fées.

    Voici l'un des vœux traditionnels de la St Patrick :

    "Comme la chaleur du soleil

    Et la lumière du jour

    Puisse la chance irlandaise

    Illuminer ton chemin

    Que les trèfles qui poussent

    Et que les soucis t'évitent

    Où que tu ailles."

    (Extrait de mon Book rédigé à la suite de mon séjour en Irlande                         du 31/08/2006 au 07/09/2006)

    Bonne fête aux Patrick, Patrice, et Patricia !


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  • Le cheval de Mérens

    Photo personnelle prise le 13 mars dernier. Il s'agit de Tornade qui, en traîneau, nous a baladées, mon amie et moi, sur le Plateau de Beille bien enneigé.

    Le cheval de Mérens,  encore parfois nommé poney ariégeois, est une race française de petit cheval de selle et de trait léger rustique à la robe noire. Il est originaire de la vallée de l'Ariège, dans les Pyrénées centrales, dans le sud de la France et le nord de l'Espagne, près d'Andorre.

    La robe est l'une des caractéristiques les plus reconnaissables du cheval de Mérens. Composée de poils fins, serrés et brillants, elle est toujours noir zain puisqu'il s'agit de la seule couleur admise par le standard de la race. D'ailleurs, on le surnomme "Le Prince noir des Pyrénées".

    Le Mérens  est, comme tous les chevaux de montagne, d'un tempérament calme et docile, dur à la tâche, capable de se déplacer sur des pentes sévères. Il est doté d'un excellent caractère et de facilités d'apprentissage selon ses amateurs. Habituellement très rustique, il vit toute l'année au plein air sans souffrir des intempéries. Les Mérens sont réputés pour leur franchise, leur endurance, leur agilité et leur pied sûr.  Cet animal ne demande que peu de soins et se contente d'une nourriture pauvre, même lorsqu'il travaille. Il est résistant au froid, mais supporte assez mal la chaleur.

    D'origine très ancienne, il présente de nombreuses ressemblances physiques avec les chevaux représentés par les magdaléniens il y a 13 000 ans. Animal de travail des paysans ariégeois dans la région de Foix des siècles durant, la motorisation des transports et de l'agriculture le met en péril au milieu du xxe siècle. Le Mérens est sauvé de la disparition par Lucien Lafont de Sentenac et des communautés d'inspiration hippie, avant l'engouement pour le poney et les loisirs équestres dans les années 1970, qui relance son élevage. Il reste néanmoins assez rare.

    C'est un bon cheval de randonnée, d'attelage et de voltige,  également utilisé pour l'entretien écologique des régions montagneuses grâce à son pied sûr et sa rusticité. Ces dernières années, deux types d'élevage tendent à se distinguer au sein de la race, l'un concerne le petit cheval massif et rustique élevé traditionnellement en semi-liberté dans les montagnes pyrénéennes, l'autre l'animal moderne et léger, également plus sportif, issu d'une sélection entamée dans les années 1980.

    Source Wikipedia


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  • Pour prodiguer les 1ers secours aux chiens et aux chats

    Comment réagir si votre chien ou votre chat présente un traumatisme? Une hémorragie ? Fait un malaise ? David Roussin, un spécialiste des premiers secours, anime des journées de formation... A lire ici :

    prodiguer-les-premiers-secours-aux-chiens-et-chats-ca-s-apprend

    Vous pouvez aussi consulter ce site :

    Info Véto/Fiche/cours-gratuit-de-premiers-soins/


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  • Jetée dans une fosse à goudron, une chienne a été sauvée de justesse

    Jusqu'où peut aller la cruauté humaine ??? Et où s'arrêtera-t-elle ??? Les bourreaux des animaux ne méritent rien. J'espère qu'un jour ils iront griller en enfer... Cette pauvre chienne revient de très loin... Et parce qu'elle s'en est sortie, je partage avec vous. La suite est à lire ici : 

    Jetee-dans-une-fosse-à-goudron-cette-chienne-a-ete-sauvee-juste-a-temps

     


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  • Un manchot nage 8000 km pour revoir celui qui lui a sauvé la vie

                               Source photo : News-Republic-article

    Une belle histoire émouvante comme je les aime !

    Tout commence au Brésil en 2011, lorsque Joao Pereira de Souza, maçon à la retraite et pécheur à ses heures perdues, tombe nez à nez avec un manchot en détresse sur la plage. L’animal est mal en point, il est couvert de mazout et proche de la mort. Mais Joao va faire tout ce qui est en son pouvoir pour le sauver. Pendant 11 mois, il va s’en occuper comme de son propre enfant. Une fois remis sur pattes, celui qui se prénomme désormais Dindim est libéré par son sauveur et regagne l’océan... Mais Joao a eu la surprise de le voir revenir un an après son départ ! Et chaque année depuis quatre ans, c'est un rituel : Dindim nage plus de 8000 kilomètres dans le seul but de rendre visite à celui qui lui a sauvé la vie, afin de lui témoigner toute sa gratitude...

    La suite est à lire et à voir  ici


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