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Pour le 4e défi -lettre T du mois d'août chez Renée
voici mon mon petit texte :
Le timide Thibault, le taciturne Thierry et le téméraire Thomas étaient trois trentenaires qui ne touchaient pas terre tellement ils tutoyaient les étoiles. Le trio d'artistes, qui travaillait tout le temps à se triturer l'esprit avec ténacité, avait trop de talent. Leur train-train quotidien consistait tantôt à tisser des mots au théâtre du Treteau et à s'y travestir tard dans la nuit, pour attirer toute une multitude de touristes surtout au mois d’août.
Si vous voulez lire les autres participations c'est ici
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Michel Butor en 2002 (Photo Wikipedia)
Avec deux mille titres, Michel Butor mort ce mercredi 24 août, a laissé une œuvre considérable. Pourtant, ce prodige connu en France pour son célèbre roman “La Modification” n'a reçu les honneurs que très tardivement.
« A l’écart », c’est le nom de la petite maison de Lucinges où Michel Butor s’était installé avec son épouse, Marie-Jo, et leurs quatre filles, (Agnès, Cécile, Irène et Mathilde) à quelques encablures de l’université de Genève où ce grand voyageur qui ne savait pas conduire a donné des cours de littérature française jusqu’à sa retraite, en 1993. A l’écart, ce pourrait être la position singulière revendiquée par l’écrivain : ni la solitude hautaine et misanthrope de l’artiste qui construit son œuvre en dépit du monde qui l’entoure, voire contre lui, ni les courses le long des sentiers battus, la répétition des formules qui ont fait leurs preuves ou l’appartenance à une école.
On le voit bien, en 1957, lorsque le jeune écrivain – il est né en 1926, à Mons-en-Barœul – obtient le prix Renaudot pour La Modification, un étrange roman à la deuxième personne du pluriel qui se déroule dans un train entre Paris et Rome...
La suite de l'article est à lire ici
NB : J'ai fait un petit bout de chemin à l'école primaire avec sa deuxième fille Cécile, qui admirait beaucoup son père... La famille Butor habitait à l'époque (dans les années 60) à Sainte-Geneviève-des-Bois dans l'Essonne où j'ai vécu enfant et adolescente. Mes parents y vivent encore...
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Alors que les mythes sur les chats noirs vont bon train depuis l'Egypte antique, notre génération continue d'alimenter les superstitions concernant ces adorables quatre pattes. Ces magnifiques matous au cœur tendre s'efforcent encore de se débarrasser de cette mauvaise réputation qui les poursuit et leur porte préjudice jusque dans les refuges. En effet, de plus en plus de félins noirs y sont abandonnés et ne se (encore) que (trop) rarement adoptés. Cependant, il est important de rappeler que ces félins ne portent pas malheur et qu'ils apportent autant d'amour dans un foyer que leurs cousins les chats blancs et/ou colorés !
Les 13 bonnes raisons d'accueillir un chat noir dans sa vie sont à voir ici
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Amoureux fou des chats et doué d’un certain penchant pour la photographie, Robert Sijka fait de son mieux pour faire vivre ensemble ses deux passions. Et c’est notamment au travers de ses fabuleux portraits de Maine Coon – race de chats qui compte parmi les plus grande au monde – qu’il s’est récemment fait connaître sur les réseaux sociaux.
Il faut dire que ses clichés rendent grâce à la noblesse de ces majestueux félins. La preuve est ici
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C’est une jolie histoire (Merci à Nicole ) qui se termine bien qui vient de se produire à Dalhem, en région Liégeoise. En effet, en seulement deux jours, un petit cheval a été sauvé deux fois d’une mort certaine ! Vendredi 12 août, un habitant de Dalhem a réussi à sauver un petit cheval, un hongre, destiné à l’abattoir. Le nouveau propriétaire de l’animal l’a alors emmené sur son terrain situé à la campagne.
À peine avait-il détourné le regard pendant quelques dizaines de minutes que son nouvel ami avait pris la poudre d’escampette. Sans doute désorienté, le petit hongre s’est retrouvé sur la route ! Pendant ce temps, son nouveau propriétaire recherchait la trace de l’animal, mais sans succès...
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