• Le chat et la voix de son maître

    Selon une étude à Tokyo au Japon,  le chat est totalement capable de reconnaître la voix de son “humain” !

    C'est à lire  ici


    24 commentaires
  • Une vidéo amusante à regarder ici

    (merci à Nadia-vraie)


    17 commentaires
  • J'y étais à ce concert ! Inoubliable ! Grandiose ! Magique ! En septembre 1999. Voir Mylène sur scène (et pleurer) c'est éblouissant. C'est l'un des plus beaux moments de ma vie... A écouter ici


    13 commentaires
  •              Le-Chat-de-Louis-XV-et-autres-animaux-choyés-de l'Histoire

    Un livre que j'ai bien l'intention d'ajouter à ma bibliothèque.

    Merci à Chat-pitre de nous l'avoir présenté sur son  blog 

    En voici le résumé :

    Charlemagne était si fier de son éléphant qu'il le montrait à tous ses hôtes de marque. Louis XV laissait volontiers son chat angora monter sur la table du Conseil, même pendant les réunions avec ses ministres. Quant à l'impératrice Joséphine, elle trompait l'ennui en collectionnant avec passion cygnes et perroquets, au château de La Malmaison…En 15 chapitres riches en anecdotes, cet ouvrage dépeint les liens insolites noués par les grandes figures de l'Histoire avec les animaux. En mettant en lumière l'attachement et l'affection des souverains pour les bêtes à poils ou à plumes, Renée Grimaud s'écarte des descriptions officielles et dresse une galerie de portraits intimistes et inattendus.Du corbeau d'Auguste aux épagneuls de la reine Victoria, chaque animal permet de découvrir son maître sous un nouveau jour.

    Le styleLes chapitres se succèdent dans un ordre chronologique, chacun s'organisant autour d'un personnage et d'un animal. Grâce à une écriture simple et parfaitement rythmée, qui multiplie les anecdotes tout en respectant la vérité historique, l'auteur offre une promenade surprenante et captivante au fil des siècles. Une lecture à la fois distrayante et instructive.L'auteureRenée Grimaud est historienne. Elle est notamment l'auteur de Nos ancêtres les Gaulois (éditions Ouest France, 6100 ventes GfK) et 1001 secrets d'Histoire de France (éditions Prat, 5500 ventes GfK). Elle a contribué à de nombreux ouvrages sur les rois et reines de France et écrit régulièrement des guides de voyage (Hachette Tourisme).

    Le-Chat-de-Louis-XV-et-autres-animaux-choyés-de l'Histoire


    15 commentaires
  • La France va-t-elle sauver les hérissons ?

    Il est à la fois le garant de la bonne santé des campagnes, un précieux auxiliaire des jardiniers et un emblème de la biodiversité. Cet animal des plus communs et pourtant de plus en plus menacé, c’est le hérisson. La semaine dernière, un collectif d’associations a mené une semaine de sensibilisation à la disparition de ce petit mammifère nocturne et insectivore. Elles appellent à sauver cette « espèce de 60 millions d’années d’évolution menacée de disparition » dans une pétition signée par 80 000 internautes depuis août dernier, et soutenue par des personnalités politiques (Yannick Jadot, Laurence Abeille, Pascal Durand ou encore Corinne Lepage).

    «Là où dans les campagnes il y avait cent hérissons, il n’y en a plus que trois à présent ! On estime qu’ils auront quasiment disparu d’ici à 2025, dans à peine dix ans », écrivent les ONG qui souhaitent la création «d’un statut prioritaire» pour l’espèce afin de «densifier le réseau des personnes habilitées à les sauver». Elles prennent pour exemple le Royaume-Uni, où ces mammifères, emblématiques et populaires, font l’objet d’une large protection.

    Outre-Manche, les chiffres sont alarmants. Les populations de hérissons étaient estimées à 1,55 million d’individus en 1995 contre 36,5 millions dans les années 1950 ! Et le déclin se poursuit. Selon plusieurs études britanniques, en moins de vingt ans, elles ont perdu 30 % de leurs effectifs dans les zones urbaines et jusqu’à 75 % dans les campagnes.

    En France, il n’existe aucune statistique de la sorte ni aucun suivi national. « Mais il n’y a aucune raison que la situation soit différente de celle de l’Angleterre ; elle doit même être pire puisque l’on utilise davantage de pesticides, qui intoxiquent ces mammifères », note Jean-Xavier Duhart, le coordinateur du réseau d’associations Sauvons les hérissons... 

    La suite est à lire ici

    Merci à Audrey Garric dans l'éco(lo) blog du journal Le Monde pour son article du 12 mai dernier très documenté sur le lien entre la disparition des hérissons avec l'augmentation de l'utilisation des pesticides en France, et pour la reconnaissance du statut d'externe pour les bénévoles.  


    19 commentaires