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"Que serais-je sans toi ?" (publié en 2009 ) en livre de poche déniché dans l'armoire de ma médiathèque à la disposition du public. J'aime beaucoup la plume de Guillaume Musso et j'ai adoré celui-ci que je n'avais pas encore lu. Surtout les derniers chapitres... C'est fort d'imaginer que les personnes dans le coma sont en transit dans une zone de départ d'un aérogare baigné d'une lumière chaude et dorée avec des pistes de décollage et seulement deux destinations : le retour à la vie ou le départ vers la mort...
C'est une très belle histoire d'amour avec une part de rêve et de fantastique.
En voici la 4e de couverture :
Gabrielle a deux hommes dans sa vie.
L'un est son père, l'autre est son premier amour. L'un est un grand flic, l'autre est un célèbre voleur. Ils ont disparu depuis longtemps, laissant un vide immense dans son cœur. Le même jour, à la même heure, ils surgissent pour bouleverser sa vie. Ils se connaissent, ils se détestent, ils se sont lancé un défi mortel. Gabrielle refuse de choisir entre les deux, elle voudrait les préserver, les rapprocher, les aimer ensemble.
Mais il y a des duels dont l'issue inéluctable est la mort. Sauf si...
Des toits de Paris au soleil de San Francisco.
Un premier amour qui éclaire toute une vie.
Un dénouement magistral et bouleversant.Né à Antibes, le 06/06/1974, Guillaume Musso est un écrivain français. Il est le frère de Valentin Musso, auteur de romans policiers.Il commence à écrire alors qu’il est étudiant. À l’âge de 19 ans, fasciné par les États-Unis, il séjourne quelques mois à New York où il travaille comme vendeur de crèmes glacées.
De 1999 à 2003, il est professeur de sciences économiques et sociales au lycée Erckmann-Chatrian de Phalsbourg et formateur à l’IUFM de Lorraine. En septembre 2003, il intègre le Centre international de Valbonne où il enseignera au lycée les sciences économiques et Sociales pendant cinq ans.
En mai 2001 paraît son premier roman, Skidamarink, un thriller en forme de jeu de piste débutant par le vol de La Joconde au musée du Louvre.
Après un grave accident de voiture, Guillaume Musso imagine en 2004 l’histoire d’un enfant revenu de la mort : Et après... ; le roman se vend à plus de deux millions d’exemplaires et est traduit dans une vingtaine de langues.Avec 1 710 500 exemplaires vendus en 2016, Guillaume Musso est pour la troisième année consécutive le romancier français le plus vendu. Ses livres sont traduits dans 36 langues et les ventes totales de ses romans dépassent les 18 millions d’exemplaires.
En 2012, il est nommé chevalier de l'ordre des arts et lettres.
(Source Wikipedia)
Vous pouvez lire un extrait du roman et l'interview de son auteur ici :
22 commentaires -
Pour citer des auteurs fans de chat, on a l’embarras du choix. Ce sont en majorité des hommes, malgré la féminité de l’univers félin - une sensibilité féline (et féminine) fait partie de leur talent. Mais s’il fallait citer un seul nom dans la littérature française, le choix est simple. Le chat habite la vie (bien remplie) et l’œuvre de Mme Colette (1873-1954).
Surnommée « Minet-Chéri » par Sido sa mère, entourée de chats dans son village natal de Saint-Sauveur-en-Puisaye (Bourgogne), ils se retrouvent en photo avec elle, dans la rue, au jardin, à sa table de travail. Fait d’autant plus significatif qu’elle contrôle parfaitement son image. Avec ses petits bouledogues français, elle prend la pose. Mais avec ses chats, Colette est elle-même, à la fois naturelle et féline.
« À fréquenter le chat, on ne risque que de s’enrichir. Serait-ce par calcul que depuis un demi-siècle, je recherche sa compagnie ? » Amours, Les Vrilles de la vigne (recueil de textes, 1908).
L'article sur Wamiz est à lire dans son intégralité ici
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Présent en grand nombre dans nos villes, le pigeon biset souffre d’une image extrêmement négative. Considéré comme sale, porteur de maladies et de surcroît, très bête, plusieurs études prouvent pourtant qu’il est en réalité très intelligent. Retour sur cinq d’entre elles.
A elle seule, la capitale française compte environ 100 000 pigeons biset, soit à peu près un oiseau pour 22 habitants. Une prolifération qui déplaît à beaucoup de personnes à cause du fait que ce volatile est considéré comme sale, porteur de maladies et qui plus est, extrêmement bête. Si les deux premiers points sont discutables, le troisième, en revanche, est totalement faux. Le pigeon commun est en réalité extrêmement intelligent. Au cours des dernières décennies, nombreux sont les scientifiques à avoir étudié l’espèce à travers des expériences de psychologie cognitive, et les résultats de leurs recherches sont tout à fait étonnants...
Le pigeon se reconnaît dans un miroir.
Ils sont capables d'utiliser des outils. (Expérience de la banane et du cube)
Les pigeons et la musique.
Les pigeons et la peinture.
Les pigeons et les probabilités.
L'article de Joana Pimenta, du 29 juillet 2017 est à lire ici
Et une vidéo est à voir ici
24 commentaires -
Lady Marianne propose un petit-jeu-de-lettres-153
Le mot le plus long en anagramme à déchiffrer est : CHANTEPLEURE
Entonnoir à long tuyau percé de trous, pour faire couler du vin dans un tonneau sans le troubler. Robinet d'un tonneau en perce. -ou arrosoir de jardinier - Fente verticale pratiquée dans un mur pour l'écoulement des eaux.
Étymologie : vient de chanter et pleurer, à cause du murmure que fait entendre le liquide en s'écoulant.
Avec les lettres proposées : faire des mots de 5 lettres au moins et au moins 5 mots puis les inclure dans un texte sur un thème de votre choix.
Voici mon texte (avec les mots trouvés en gras et en italique) :
Piètre idée d'éplucher des oignons quand on avait le cœur en miettes. Laurence n'avait pas vraiment besoin de mouiller ses yeux davantage. N'avait-elle pas assez pleuré ? De quoi remplir en entier une chantepleure qui aurait rechanté ses pleurs tout en déversant son désespoir sur un hectare de cailloux. Au point de se payer des maux de crâne qui lui donnaient la nausée. Elle était effondrée. Elle avait hurlé sa douleur. Elle avait dû lâcher l'homme qui lui disait depuis deux ans qu'elle était devenue l'unique femme de sa vie. Elle avait fait l'erreur de placer la barre trop haute le concernant. Elle ne pouvait être qu'ulcérée en estimant que Peter avait abusé de sa crédulité et qu'il l'avait trahie. Certes, elle avait toujours su qu'il était marié. Mais il lui avait promis maintes et maintes fois qu'il quitterait son épouse pour continuer sa route avec elle. Elle n'avait pas eu l'impression de vivre dans le péché et n'avait pas pensé un seul instant qu'elle avançait sur une pente glissante. Son destin avec lui, lui avait semblé tout tracé. Et la perte de cet amour qu'elle avait vécu, qu'elle avait cru bêtement naturel et éternel, l'avait dévastée. Tout s'était écroulé quand il avait planté le décor en lui annonçant de but en blanc que Cathleen attendait un enfant. Dire qu'il lui avait juré ne plus avoir aucun lien charnel avec elle !!! Qu'il avait été cruel ! Et face au regard perçant qu'il lui avait lancé, Laurence avait enfin compris qu'il s'était moqué d'elle et qu'elle n'était pour lui que la cinquième roue du carrosse... Alors qu'elle aurait eu envie d'une épaule solide sur laquelle s'appuyer et qu'elle aurait été prête à tout plaquer en France pour le rejoindre en Californie... Des images revenaient la hanter. Celles de son paternel, une crapule à la carrure d'Hercule et à la paluche de fer, qui l'avait battue comme plâtre lorsqu'elle avait découché de la maison à dix-sept ans. Sans aucune retenue, il lui avait fichu une raclée qui l'avait laissée pantelante et inanimée sur le plancher... Celles de Peter qu'elle avait croisé sur un plateau de télévision. Il était acteur et chanteur. Il habitait à San Francisco, une ville pas comme les autres, protégée du vent du Pacifique, indissociable de son fameux brouillard et bénéficiant d'un étonnant microclimat. Elle était éclairagiste. A la fois artiste et technicienne, elle mettait en lumière les spectacles. Et elle avait éclairé le sien lorsqu'il était venu en tournée à Paris. Elle le revoyait l'enlacer tendrement, lui offrir un pendentif en nacre d'abalone qui apportait douceur, pureté, confiance en soi, gaieté, grâce et raffinement à l'être humain qui le portait. Dans la chaleur de ses bras, elle avait goûté aux délices de l'amour. Sans Peter, il ne fallait pas qu'elle chute, parce que si elle tombait, personne ne viendrait la ramasser...
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La solitude automnale.©
Retravaillé avec pastel doux.
Ne pas copier SVP
Pour le tableau du samedi chez Lady Marianne
j'ai choisi une très belle peinture réalisée par Violeta Vogt qui habite à Buenos Aires en Argentine.
Vous pouvez voir son site ici
Je remercie chaleureusement Violeta, de m'avoir gentiment autorisée à publier l'une de ses œuvres.
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