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Pour le tableau du samedi chez Lady Marianne
j'ai choisi ce joli dessin à l'encre et au crayon d'Edouard Vuillard (1891)
Jean Édouard Vuillard (1868-1940) est un peintre, dessinateur, graveur et illustrateur français. Membre fondateur du mouvement nabi, il s'illustre dans la peinture de figure, de portrait, d'intérieur, de nature morte, de scène intimiste, de composition murale et de décor de théâtre.
Pour en savoir plus c'est ici Le monde des arts/Article Edouard Vuillard
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Le dhole, cuon d'Asie ou encore « chien sauvage d'Asie » (Cuon alpinus) est une espèce de mammifère de la famille des canidés et du genre Cuon, dont il est le seul représentant actuel. Il vit en Asie.
Le dhole s'apparente au loup ou au lycaon. Sa robe est d'une couleur brun-roux. Il vit principalement en Asie centrale et orientale mais s'adapte facilement à de nouveaux environnements. Le mâle est beaucoup plus grand que la femelle. Il mesure de 75 cm à 1 m de long, de 42 à 55 cm au garrot et pèse entre 10 et 25 kg . Sa queue mesure environ 40 cm de long et son extrémité est noire. Il possède 40 dents, à la différence de la plupart des autres canidés qui en ont 42.
Les dholes vivent en groupes pouvant atteindre 40 individus.
Comme chez les loups, seul le mâle et la femelle alpha se reproduisent, ce qui explique peut-être les menaces de disparition qui pèsent sur cette espèce. Ils élèvent leurs petits dans un terrier, comme les lycaons. Il ne reste aujourd'hui que quelques milliers de dholes sur la planète.
Actuellement, on le trouve en Inde, en Asie du Sud-Est, en Chine, en Corée, en Russie et au Japon.
Source Wikipedia/Dhole
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Une étude publiée dans la revue Animal Behaviour en ce début d’année aborde un sujet inédit, et fait une découverte amusante : les chats utilisent comme nous un côté plus que l’autre avec leur patte, on peut donc les qualifier de droitier ou gaucher. Et vous, votre chat est-il droitier ou gaucher ?
Aussi surprenant que cela puisse paraître, à l’heure où le chat domine internet, il faut savoir que les scientifiques en savent très peu sur son comportement spécifique. Autant, le chien est bien connu, et même si les théories scientifiques autour du comportement du chien évoluent sans cesse, il y a des données. Mais le chat nous offre un désert expérimental : en effet, il n’est pas si facile à étudier ! Car il est très difficile de trouver une motivation capable de faire travailler un chat dans un protocole, et l’observation sur le terrain est délicate, avec son caractère indépendant.
La suite de l'article du Dr Stéphane Tardif
Docteur vétérinaire et rédacteur pour Wamiz est ici
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