• Petite pause d'automne

    Je vais m’absenter un peu de la toile à compter d'aujourd'hui pour quelques jours afin de profiter de mes 2 petites-filles, Lucie et Jeanne… Portez-vous bien. Je serai de retour vendredi. Bonne semaine à vous tous. 


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  • (Jeu de lettres n°234)

    Lady Marianne propose un  petit-jeu-de-lettres-234

    (Jeu de lettres n°234)

    Le mot le plus long en anagramme à déchiffrer est : MEPHISTOPHELES

    Un des sept princes de l'enfer, incarnant parfois le diable sur terre.

    Avec les lettres proposées : faire des mots de 5 lettres au moins et au moins 5 mots puis les inclure dans un texte sur un thème de votre choix.

    Voici mon petit texte (avec les mots trouvés en gras et en italique) :

    Terminées les pistes  d'atterrissage et les nuits d'hôtel  entre deux avions.  Théophile, pilote  de ligne et Tessie, hôtesse de l'air avaient stoppé net leurs emplois  du temps trépidants. Il s'accordaient une année sabbatique pour faire le point. Ils rejoignaient leurs potes Emile, Hélios  et Sophie, poètes  et poétesse dans une troupe de saltimbanques. Ils étaient au septième  ciel à l'idée de jouer un petit rôle dans une pièce de théâtre comique. Le thème  leur plaisait beaucoup : Après la lecture de l’Évangile, l'hostie  et l'homélie du dimanche, Héloïse, une femme empotée emplie  de piété  reçoit, au moment de sa sieste, la visite d d'un ange déchu ; Méphistophélès qui s’impose comme le Messie qu'elle attendait. Elle vendra son âme au diable et deviendra une peste hostile à la prière. Elle quittera ses slips  de grand-mère pour se transformer en une belle pépée potelée  bronzant topless sur les plages...


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  • Tableau du samedi : Convalescence

                                            Convalescence (1886) (Wikipedia)

    Pour le tableau du samedi chez  Lady Marianne

    j'ai choisi un très belle peinture d'Ivan Gorokhov. Le chat y est présent !

    Ivan Lavrentievich Gorokhov (1863-1934) est un peintre de paysages russes. Fils d'un ancien serf, à un âge précoce, il a commencé à dessiner des scènes de la nature à la ferme. Son talent  attira l'attention d'un propriétaire terrien local, Vladimir von Meck. Ce qui lui permit de fréquenter l'école de peinture, de sculpture et d'architecture de Moscou. Devenu un étudiant à part entière en 1880,  il obtint en 1886, le titre d'"artiste" et une médaille d'argent pour son travail "Récupération". Seules une poignée de ces dernières œuvres ont survécu, en raison de la destruction générale subie dans la région de Mozhaysk de 1941 à 1942 lors de l'invasion allemande. La plupart de ses peintures font partie de collections privées.

    (Source Wikipedia)

    Tableau du samedi : Convalescence


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  • Une vidéo instructive que je partage avec vous !

     


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  • Le pré des égantines

    Pour le défi n°56 chez Evy  voici ma participation :

    Un très bon livre du terroir comme je les aime (je suis berrichonne du côté paternel et j'habite maintenant en Creuse), qui m'a permis de découvrir une auteure. J'ai bien l'intention de lire ses autres livres...

    Une belle histoire. Des personnages attachants. 

    En voici la 4e de couverture :

    Clémence est née en Berry, dans un village (Saint-Sébastien  en Creuse, aux portes de l'Indre, département du Berry) qui peine à se remettre de la grande saignée de 14-18. Dans cet univers laborieux, la jeune fille s'accorde cependant sa part de rêves, dans “le pré des églantines” ; jusqu'au jour où elle prendra la décision de quitter cette terre, fuyant la volonté de son père qui veut la marier contre son gré, et se retrouvera à Paris ! La découverte de la capitale est un choc pour cette provinciale formée à l'école des traditions rurales du silence et du sort accepté. 

    Du même auteur aux Editions de la Loupe : La môme églantine (2016), La vivandière de l'empereur (2015), Jeanne des eaux vives (2014), Coeur de pierre (2013), La maison de Louise (2012, Le Seigneur du Plaix Jolliet (2012)

    Le pré des égantines


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