• Poussière d'homme

    Poussière d'homme

     

    Ce livre déniché à la médiathèque hors prêt et en libre-échange pour le public est un petit bijou que je vais garder précieusement. Il m'aura permis de découvrir un écrivain à la plume talentueuse pleine de délicatesse, de justesse et de poésie. Je l'ai lu dans le train... Ce roman autobiographique magnifique est un bel hymne à l'amour et à la vie... Il m'a émue intensément... Je dirais même qu'il m'a chamboulée. Je l'ai trouvé sublime et d'une rare élégance. Je vous le recommande vivement !

     

    En voici la 4e de couverture :

    « Ce dimanche 3 avril, au soir, tes jours d’homme m’ont filé entre les doigts. Au presque commencement de ma vie, je t’ai perdu, toi avec qui je voulais la finir. Nous avions oublié d’être mortels, le temps nous a rattrapés… »
    David LELAIT-HELO

    « Je viens de finir ce livre, c’est un VÉRITABLE CHOC !!!!! Non seulement l’histoire est bouleversante mais le style est éblouissant !! Les mots claquent, lumineux et remplis de poésie ! Une émotion tout en pudeur pare ce livre d’une couleur unique. » Gérard Collard

    « Lyrique et sensible, juste et touchant, bouleversant même quand il ne reste qu’une poignée d’heures avant la séparation ultime. » Ph.-J.C. –Le Monde

    « Un texte émouvant et d’une exquise sensibilité. » Delphine Apiou –Biba

     

    Et la 4e de couverture chez Anne-Carrière-Editions

     "Ce dimanche soir, tes jours d'homme m'ont filé entre les doigts. Au presque-commencement de ma vie, je t'ai perdu, toi avec qui je voulais la finir.
    La voix blanche et la colère noire, j'ai eu beau t'appeler, tu étais déjà parti, loin. Ta vie, minuscule tourbillon de quelques lunes et soleils, cessait là de tournoyer, sur le rivage carrelé blanc et glacé d'un hôpital.
    Je fais le rêve que l'on nous redonne une poignée d'heures, ravies entre le tomber d'un jour et le lever d'un autre. Ce ne sera qu'un tout petit moment, le temps de refermer les portes de notre vie ensemble. Rien qu'une escale pour rattraper ce temps arraché, et te dire l'après-toi, le sans-toi, la béance à chaque seconde de mes jours depuis ta vie suspendue..."
    Poussière d'homme est une parole d'amour, d'homme à homme, dans un océan de perte et de chagrin.
    Ce récit est le rêve fou de ces adieux, la mise en mots de l'insoutenable absence, comme un supplément d'amour lorsqu'on craint que la douleur nous précipite dans la folie.

     

    Le site de l'auteur est ici

     


  • Commentaires

    1
    Lundi 4 Décembre 2017 à 06:42

    merci pour ce partage littéraire ! bonne journée

    2
    Lundi 4 Décembre 2017 à 06:56
    Séverine

    Je note, merci.

    3
    Lundi 4 Décembre 2017 à 07:54

    Je le lirai je pense même si parfois j'hésite à rouvrir les vannes du chagrin.  Merci Béa  et bises

    4
    Lundi 4 Décembre 2017 à 09:14

    C'est un auteur que je ne connais pas du tout et je vois que tu as fait une belle découverte. Je le note pour faire sa connaissance un de ces jours. Peut-être que ma médiathèque le possède, lui ou un autre titre. Merci du partage

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    5
    Lundi 4 Décembre 2017 à 10:22
    LADY MARIANNE

    un excellent roman à la lecture de ton billet-
    merci bien pour la découverte-
    bizzz

    6
    jean-marc
    Lundi 4 Décembre 2017 à 10:27

    Je ne connaissais pas. Merci du conseil

    7
    Lundi 4 Décembre 2017 à 10:57

    merci pour ce partage - bonne journée bisous Mamy Annick

    8
    Lundi 4 Décembre 2017 à 11:26
    danielle

    qui a perdu qui? tu peux me dire?...

      • Lundi 4 Décembre 2017 à 15:46

        Un homme a perdu son compagnon de vie... L'amour de sa vie...

        Et cet homme dévasté par le chagrin raconte avec tact et pudeur sa belle histoire d'amour. 

        L'Amour n'a pas d'âge, pas de sexe...

        Et la Grande Faucheuse est impitoyable !

        Bises Danielle.

    9
    Lundi 4 Décembre 2017 à 13:35

    coucou ce livre semble superbe et émouvant ; merci pour ton avis

    10
    Lundi 4 Décembre 2017 à 13:48

    Coucou Béa,  un livre d'une rare émotion et tu nous en parles si bien;Un grand merci pour ce partage. Bel après-midi et gros bisous

    11
    Lundi 4 Décembre 2017 à 13:50

    C'est exactement le discours que tient Isolde au 3e acte du Tristan de Wagner... Ce doit être un beau livre, puisque la douleur est belle.

    12
    Lundi 4 Décembre 2017 à 14:51

    Le synopsis et tes ressentis sur cet ouvrage donnent vraiment envie de s'attaquer à cette lecture.
    Merci Béa, un de plus a noter sur ma liste.
    Bises et bonne journée

    13
    Lundi 4 Décembre 2017 à 15:44

    Oh merci de ce partage...Rien que le titre la couleur du livre me parlent...Et les extraits que tu nous livres...J'emprunte,j'emprunte à la bibliothèque et souvent je n'ai pas le temps ,en cette saison,où les chats demandent ++++,de lire autant que je souhaiterais et de ne pas pouvoir terminer quand je dois les rendre! Il faudrait des journées plus longues ou une vie de 200 ans..Oh oui c'est si court une vie,une heure,une semaine,un mois...

    Tendresse

    14
    Lundi 4 Décembre 2017 à 16:03
    Renée

    Tu en fais une très bonne présentation Béa, merci. Bisoussssss

    15
    Mardi 5 Décembre 2017 à 16:37
    marine D

    C'est noté !

    Bisoux

    16
    Mardi 5 Décembre 2017 à 18:20

    Ma très chère Cousinette Béa,

    Quel texte, quels témoignages, chaque mot pèse, comment s'extraire de cette histoire sans émotion, je te rejoins dans ton analyse.

    Quand une vie te file entre tes doigts ou une vie qui prend forme avec tes mains lors d'une naissance, quelle émotion !!!

    Je fais la liaison entre la vie et la mort, car cette une question qui me hante depuis toujours, même après avoir vécu une EMI ou NDE,

    Tu dois bien le ressentir que je me sens mal à l'aise devant un tel écrit.

    La naissance est exprimée par une voix chaude en couleur, quant à un départ la voix s'enfuit et elle est à peine audible.

    Notre culture européenne, nous rend chaque départ comme si tout était fini et pourtant.....la vie continue comme si rien ne s'était passé.

    Alors, c'est le rêve qui a toute sa place et sans lui, le désespoir t'emprisonnerait avec un carcan vers la déshumanisation.

    Quelle est l'escale où s'accoster pour rattraper ce temps si chère qui me guidera en étant seul.

    Mes cris vont-ils résonner dans ce désert maintenant que mon ami tant chéri est parti rejoindre l'inaccessible étoile. 

    La dureté de la vie s'est qu'elle nous charge de souvenirs heureux puis d'autres déchirants !!!

    Oui et oui ce livre c'est une anthologie de la vie.

    Je t'embrasse Béa et à bientôt !!!

    Patrick Riot

      • Mardi 5 Décembre 2017 à 18:36

        Je comprends ton ressenti... 

        Émotion vive pour moi à la lecture de cette histoire d'amour si bien écrite avec l'énergie du désespoir ! 

        David a su immortaliser cet Amour qu'il éprouvait pour son compagnon... 

        Son histoire restera gravée dans ma mémoire...

        Je t'embrasse mon cher cousin.

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