Je sais combien le chagrin est éternel lorsqu'on perd un enfant, alors que dans la logique ce sont les parents et grands parents qui devraient partir avant .<br />
Mes deux soeurs sont passés par là ,l'une a perdu un fils et l'autre une fille , la maladie frappe sans âge malheurement ..c'est terrible ,mais il faut continuer à vivre pour ceux qui restent.
Comment oublier que la mort existe quand chaque jour on nous annonce le nombre de morts dû aux différents conflits mondiaux.<br />
Quand on voit ceux que l'on aime disparaitre peu à peu.<br />
On se dit un jour ce sera mon tour mais en attendant profitons de chaque moments qui passe.<br />
Bises et agréable journée.
Un texte magnifique que j'ai récemment lu sur facebook, sous la photographie de Emilie Dequenne qui vient de décéder à 43 ans, je crois, d'un cancer rare. Une jeune femme lumineuse qui est restée positive pendant toute sa maladie mais que celle-ci a emportée après une rechute.<br />
Oui, nous devons garder en conscience que chaque minute offerte à la vie est importante et qu'il faut savoir relativiser le reste.<br />
Merci pour cet émouvant partage, chère Béa. Ainsi que pour cette belle peinture. Les chats nous invitent à la méditation.<br />
Bisous du cœur.
Croquons à pleine dent la vie car elle est parfois si courte ... faisons fi des petits tracas ... car parfois l'impensable nous accable ... et peu à peu la vie reprend son court sans toutefois oublier ... Bises dans ton après midi Béa et merci pour ce beau tableau de ce chat au regard interrogatif . Nisole
Superbe texte qui saisit bien l'éphémère de notre vie et la nécessité de vivre pleinement chaque instant de notre existence.<br />
Sachons voir où est l'essentiel et laissons de côté toutes les futilités qui nous empoisonnet l'existence.<br />
Bonne journée <br />
Bises
Bonjour Béa, <br />
<br />
Merci pour ce partage bouleversant qui me touche énormément. Il est d'une justesse et d'une profondeur rares. Ce poème d' Angèle Marian est d'une touche émotionnelle exceptionnelle, il aborde avec une sincérité désarmante la fragilité de la vie et notre tendance à l'oublier, à nous laisser happer par des préoccupations futiles. <br />
<br />
Merci Béa, ce poème me fait beaucoup réfléchir. Il me rappelle l'importance de vivre pleinement chaque instant.<br />
<br />
Bien amicalement, Marie Sylvie
Bonjour Béa,<br />
Le départ d'un être cher et la vie n'est plus la même.<br />
Un texte si poignant qu'il ne laisse pas insensible. "ces silences" ne sont pas faciles à accepter et il faut bien vivre avec.<br />
Bonne fin de journée Béa.Bises