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Pour le défi-n-56-thème-je-peins chez Evy
Voici ma participation :
Je panse mes maux
Je pense mes mots
Je peins du bleu sur du sombre
Je peins du beau sur du sinistre
Je peins du joyeux sur du triste
Je peins de la lumière sur de l'ombre
Je peins des chats à pattes de velours
Je peins des chats venant à mon secours
Béa Kimcat- avril 2016
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Troupeau de chèvres à Murzo Ouest Corse Photo de Pierre Bona pour wikipedia
Un superbe voyage au-dessus de la Corse.
A regarder ici
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Ce n'est qu à partir du XIIe siècle (première mention dans un manuscrit de 1175) que le mot "chat" apparaît dans le vocabulaire francophone.
Auparavant, et bien avant le 1er siècle, notre compagnon était désigné par le terme latin de "cattus", que l'on pense dérivé du syrien "gato".
Certains historiens y voient également l'incidence du mot "kadis" , utilisé par les habitants de de Nubie pour désigner leurs chats. C'est ce terme qui servira ensuite de base à l'ensemble du vocabulaire européen : le cat anglais, le gato italien et espagnol ou le katz allemand. Les romains, eux, utilisaient le mot "félis" , sans doute dérivé de "feles" qui signifie voleur, chapardeur... Allez savoir pourquoi? Ce terme prendra plus tard toute son importance dans notre langue (félins, félidés...). Chez les grecs, le chat était appelé "galé". Les égyptiens, plus pragmatiques, se contentèrent de baptiser leurs matous "meyous", en raison de leur miaulement. On pense que le mau égyptien tire son nom de cette ancienne appellation.
Il est curieux de constater que ce n'est que beaucoup plus tard (XVIIIe siècle) qu'apparurent dans la littérature et le vocabulaire courant tous les autres dérivés du mot "chat", à commencer par chatte, chaton, chatière etc...
Source : Chatsdumonde.fr
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Chez Laurence , talentueuse artiste peintre animalière, j'ai trouvé ce beau poème qui aurait beaucoup plu à mon mari car il était fasciné par les guépards.
Avec mes jambes longues mon beau corps élancé
Ma robe tachée de noir je suis un beau félin
Je suis mince comme un fil et mon corps se termine
Par une queue longue et fine qui sert de balancier
Tel un masque africain ma face est une énigme
Deux lignes coulent de mes yeux telles deux rides profondes
Comme coule le rimmel des filles qui se maquillent
Les jours où la pluie tombe ou que des larmes fondent
Je dois chasser pour vivre mais je vaincs sans plaisir
Mes proies se dissimulent mais j’ai une vue de lynx
Je sais prendre au repos l’attitude d’un sphinx
Et contempler sans fin l’objet de mes désirs
Quand je fonds sur ma proie je cours à toute vitesse
Et mon cœur bat à rompre comme pris d’allégressePoème de Alain Hannecart
Vous pouvez aller voir les magnifiques œuvres de Laurence sur son site.
Ne vous en privez pas ! C'est ici
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Des sauvetages d'animaux qui font du bien...
A regarder ici
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