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Pour le défi-n-59/parler-d-un-livre chez Evy voici ma participation
Un excellent livre emprunté à la bibliothèque et qui m'a beaucoup plu qui nous permet de mieux connaitre une page d'histoire. C’est un roman. Mais l’auteure s’est attachée à reconstituer la personnalité de la duchesse d’Angoulême, une femme méconnue et qui s’est très peu livrée (elle a juste laissé un sobre fragment de 18 feuillets qu’elle a rédigés en prison à l’âge de 16 ans)...
En voici la 4e de couverture :
Née en 1778, Marie-Thérèse Charlotte de France, fille de Louis XVI et Marie-Antoinette, avait un destin tout tracé, à commencer par une enfance heureuse et dorée au Château de Versailles, régie par une éducation stricte et raffinée. Mais les tourments et tumultes de la Révolution couvent...jusqu'à la fatidique prise de la Bastille. Dès lors la vie de Mousseline la Sérieuse – surnom affectueux de sa mère – sera une tragédie racinienne faite d'errance et de malheurs. Son père, sa mère, sa tante et ses amis : guillotinés. Ses frères et sa sœur : morts. Elle-même est emprisonnée trois ans et demi, dont un an d'isolement total durant lequel elle ignore la mort de ses proches. Elle est par la suite condamnée deux fois à l'exil. Fille, sœur, nièce et belle-fille des trois derniers rois de France, elle traversera trois révolutions, deux restaurations et sera l'espace de quelques minutes Reine de France. Pourtant, elle n'aura de cesse de rêver jusqu'à son dernier souffle de son pays, la France, et de la reconquête du trône.
Personnage méconnu et fascinant de l'Histoire de France, Mousseline la Sérieuse est le journal imaginaire d'une femme fière et digne marquée par le sceaux de l'opprobre, mais qui jamais ne renonça à faire éclater sa vérité. Une nouvelle lecture passionnante de ce pan pourtant bien connu – croit-on ? – de notre histoire.(Prix littéraire des Princes et prix d’Histoire du Cercle de l’Union interalliée)
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Animaux de compagnie perdus : les arnaques explosent
La société qui gère le Fichier national d’identification des animaux carnivores domestiques met en garde contre ces escrocs, qui "profitent de la détresse de celles et ceux qui ont perdu leur animal pour leur extorquer de l’argent".
PUBLIÉ LE 16/10/2019 À 07:14 sur site web RTL
Propriétaires d'animaux de compagnie, soyez vigilants. C'est le message passé par la Société qui gère le Fichier national d’identification des animaux carnivores domestiques (I-CAD).
Comme le rapporte Actu.fr, "cette société sous délégation du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation a alerté sur un système d’escroquerie mis en place à l’encontre des propriétaires de chiens ou de chats perdus". L'I-CAD recense en effet entre 50 et 100 victimes de ces arnaques à la fin de l'été.
"Et on remarque que c’est de nouveau le cas cet automne, on enquête sur un cas en particulier", confie au site d'actualités Chloée de la Simone, responsable communication de l'I-CAD.
La technique de ces escrocs qui "profitent de la détresse de celles et ceux qui ont perdu leur animal pour leur extorquer de l’argent" est simple : ils se saisissent d'abord, sur les réseaux sociaux notamment, des coordonnées des propriétaires d'animaux disparus. Puis les contactent, leur disant avoir retrouvé leur fidèle compagnon. Ils informent ensuite les maîtres qu'ils ne leur rendront leur animal qu'en échange d'une certaine somme d'argent. Certains n'hésitent pas à préciser au propriétaire avoir dû avancer des frais de vétérinaire pour l'animal, soi-disant blessé.
C'est ainsi qu'une centaine de propriétaires désespérés sont tombés dans le panneau. Et les sommes réclamées sont importantes, certains ont déboursé pas moins de 300 euros. Et ce ne seront sûrement pas les derniers à céder à ce chantage, car depuis quelques temps, ce type d'arnaque est de plus en plus fréquent.
La raison est simple, selon Chloée de la Simone : "L’animal de compagnie a pris une place de plus en plus importante dans les familles et on observe qu’il y en a de plus en plus. Mathématiquement, plus il y en a, plus il y a de risques qu’ils se perdent". L'I-CAD donne la marche à suivre aux propriétaires d'animaux qui se retrouveraient confrontés à ce type d'escroquerie : évidemment de ne pas verser un centime mais surtout d'alerter leur société et de porter plainte auprès des autorités.Source Chats de mon cœur/Forum
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Wikimedia/Les Tribulations d'un chat
Benjamin Rabier est un auteur jeunesse et de bande dessinée, illustrateur français (1864-1939). Il s’est notamment rendu célèbre pour le dessin de la marque « La vache qui rit », et pour le personnage du canard Gédéon.
Il est considéré comme un des plus grands dessinateurs animaliers européens. L’univers de Benjamin Rabier est parsemé d’animaux. En 1906, il publie chez Jules Tallandier une édition entièrement illustrée des Fables de La Fontaine. Il illustra aussi le Roman de Renart et l’l'Histoire naturelle de Buffon. En 1921, Léon Bel s’inspira d’un dessin de Benjamin Rabier comme logo de sa marque La vache qui rit. Cette vache décorait les camions de transport de viande fraîche pendant la Première Guerre mondiale et était surnommé la « Wachkyrie ». Mais son personnage de bande dessinée le plus célèbre reste Gédéon le canard, dont les histoires ont été publiées entre 1923 et 1939 en 16 albums. Il a aussi dessiné la célèbre baleine des Salins du Midi.
(Source Wikipedia )
A la Bibliothèque-Multimédia-du-Grand-Guéret, c'est l'exposition du moment.
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Lady Marianne propose un petit-jeu-de-lettres-237
Le mot le plus long en anagramme à déchiffrer est : MARMORÉENNES
Adjectif féminin pluriel -Une pierre dure, compacte, froide et dessinant des veines colorées rappelant le marbre
Voici mon petit texte (avec les mots trouvés en gras et en italique) :
Quand il s'agissait d'affaires de famille, Manon savait bien mieux mener sa barque, qu'Emerson et Romane, ses frère et sœur. Elle s'était notamment, armée de patience pour convaincre leur grand-mère de Rennes, d'une cause qui lui tenait à cœur. Elle avait dû ramer longtemps pour l'amener à contacter l'association ARBRES (Arbres Remarquables : Bilan, Recherche, Études et Sauvegarde). On devait protéger le magnifique orme champêtre, qui trônait dans son parc. Sa démarche ayant abouti, elle avait embrassé avec chaleur et effusion les joues marmoréennes de la vieille dame aux doux yeux marrons. L'arbre, énorme par ses dimensions, âgé d'au moins deux cents années, qui arborait un beau feuillage doré en automne, atteignait presque 30 mètres de haut. Il avait survécu aux attaques et aux tempêtes. Les ormes, devenus rares en France, avaient été décimés à 99% par la graphiose, une grave maladie due à un champignon microscopique, transporté par un insecte. En somme, il fallait que le vénérable rescapé de mémée Rose-Anne soit recensé comme un arbre remarquable par cette association qui attribuait le label "Arbre remarquable de France" à des arbres au caractère exceptionnel...
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"Diva" ©
Ne pas copier SVP
Huile sur toile inspirée d'une photo prise d'un beau chat Ragdoll bleu bicolore à BellaPalazzo, dans le Connecticut.
Pour le tableau du samedi chez Lady Marianne
j'ai choisi à nouveau une superbe peinture de Lucie Bilodeau.
Voir mon article du 26 mai 2018 ici Point-d-intérêt
Lucie est née à Montréal en 1967. Elle peint depuis 1982. Elle vit maintenant avec son mari, aux Etats-Unis, dans le Massachusetts, où elle peint à plein temps.
C'est une artiste primée. Elle a reçu notamment :
Le Prix d'excellence pour l'huile "Zantor" en 1984 (Le Cercle des Artistes Peintres du Quebec)
La Médaille d'argent pour l'huile "Rêveuse" en 1985 (Le Cercle des Artistes Peintres du Quebec)
Le Prix d'excellence pour l'huile "Only a game" (Compétition de couverture 1993 -The Manhattan Arts News, New York)
Je vous invite à visiter son site ici
Et sa page Facebook ici
Je remercie chaleureusement Lucie de m'avoir gentiment autorisée à publier l'une de ses œuvres.
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