• Le cerveau émotionnel des personnes hypersensibles

    Le cerveau émotionnel des personnes hypersensibles

    Il est parfois difficile de s’adapter à ce monde trop bruyant, à ce monde empli d’égoïsmes et d’autres doubles intentions.

    Les sens des personnes hypersensibles sont une faiblesse, mais aussi une chance. Elles peuvent percevoir ce que les autres ne perçoivent pas, et le faire si intensément que le monde leur présente alors un éventail de réalités qui échappent aux autres.

    A quoi l’hypersensibilité est-elle due ? 

    Est-ce génétique ?

    Pourquoi les personnes hypersensibles souffrent-elles plus que les autres ?

    Pourquoi pour elles, l’amour est-il si intense, mais aussi si douloureux ?

    Pourquoi apprécient-elles tant la solitude, pourquoi ressentent-elles une si profonde incompréhension depuis leur plus jeune âge ?

    En 2014, des chercheurs de l’Université de Stony Brook (New-York) ont mené à bien un étude intéressante, au cours de laquelle ils ont essayé d’expliquer les particularités que présente le cerveau d’une personne hypersensible, ainsi que les différences qui existent entre les personnes hypersensibles et celles qui ne le sont pas, ou du moins, celles qui n’ont pas cette ouverture émotionnelle si caractéristique de l’hypersensibilité.

    Les résultats de cette étude, composée de six enquêtes, sont très intéressants, et ont été publiés dans la revue Brain and Behavior.

    Lisez la suite de cet article pour les découvrir !

    Cerveau-personnes-hypersensibles

    NB : Je m'y "retrouve". Je suis bien une hypersensible...

     


  • Commentaires

    1
    myka
    Mercredi 21 Octobre 2015 à 08:42

    Mon père disait que je faisais de la sensiblerie :-/

    Bel article dans lequel nombre de tes lecteurs vont se retrouver. En effet, ton blog est une forte source d'émotions et, les personnes pourvues d'une sensibilité exacerbée ne peuvent qu'y adhérer.

    Juste un petit bémol : "l'union avec leurs semblables" est bien trop restrictif.

    Une amie m'avait parlé d'un livre de Mathieu Ricard (plaidoyer pour l'altruisme) dans lequel il différencie l'empathie et la compassion. Pour l'empathie, nous ressentons et partageons les souffrances des autres (humains ou animaux) et donc souffrons beaucoup. Pour la compassion, la personne voit la souffrance et fait ce qu'elle peut pour aider mais ça ne l'affecte pas. J'aimerais tant arriver à de la compassion...

    Bisous

     

    2
    Mercredi 21 Octobre 2015 à 08:54

    la vie est dure pour les hypersensibles !!! bonne journée

    3
    Mercredi 21 Octobre 2015 à 10:03

    Très intéressant ton article Béa.

    J'arrive mieux a comprendre et accepter ma "sensiblerie".

    Bisous et bonne journée

    Surfingmune

    4
    Mercredi 21 Octobre 2015 à 12:18

    Très intéressant ma Béa. Bises et bon mercredi. ZAZA

    5
    Mercredi 21 Octobre 2015 à 12:29

    Parfois j'aimerais être moins empathique , c'est une telle source de douleurs! Quand à ceux qui parlent de sensiblerie , c'est bien souvent pour masquer leur propre cruauté !

    Bises Béa

    6
    Mercredi 21 Octobre 2015 à 12:42

    Alors nous sommes au moins deux ma Béa. L'hypersensibilité nous apporte beaucoup de souffrance mais aussi un bonheur plus grand quand il passe. Et ce bonheur est fait de tout petits instants qui nous émeuvent particulièrement.

    "Non rien de rien, non je ne regrette rien"...

    Je te souhaite une très belle journée ensoleillée. Mille gros bisous de chatou

    7
    Lise
    Mercredi 21 Octobre 2015 à 13:15

    Tu n'es pas seule Trixie affligée de ce que pour ma part je considère une malédiction; tu sais à quel point ça peut devenir difficile à gérer au quotidien. Hypersensibilité, hyperémotivité, il y a de la littérature à profusion sur le sujet pour aider à contrôler ces traits de caractère afin de devenir un être bien adapté à notre époque. La sensiblerie (comme les détracteurs appelent ça) est mal vue dans notre société. Bref, tous les livres que j'ai lus ne m'ont aidée en rien, alors j'assume; c'est ça ou une lobotomie...

    8
    Mercredi 21 Octobre 2015 à 13:35

    Plus je vieillie, plus je deviens sensible. J'aimerais bien savoir pourquoi. ça commence à me gêner dans l'exercice de ma profession. Mais je pense que ça m'aide à écrire.

    9
    Mercredi 21 Octobre 2015 à 17:49

    bonsoir béa,

    je suis très sensible et souvent plus jeune, on se moquait de moi.

    passe une bonne soirée, bises, véronique

    10
    Mercredi 21 Octobre 2015 à 18:32

    .............A la fois un don qui fait être en grande communion avec les règnes vivants végétaux et animaux...Mais aussi une réelle souffrance au quotidien que de ne pas s'adapter au monde qui nous malmène et est dans l'ignorance parfois le mépris de ce qu'est l'hypersensibilité...Elle peut devenir un réel handicap social nous faire fuir ce Monde...Je le sais...depuis la naissance...

    Tendresse douce...

    11
    Mercredi 21 Octobre 2015 à 18:43

    J'en suis une aussi, je le savais déjà mais c'est très intéressant. Je m'abonne à la new's. Belle soirée.

    12
    Mercredi 21 Octobre 2015 à 20:09

    Excellent ce passage

    13
    Mercredi 21 Octobre 2015 à 22:15
    Santounette

    Un article très intéressant Béa.
    Je pense que bon nombre de femmes sont concernées.
    Bises

    14
    myka
    Jeudi 22 Octobre 2015 à 10:26

    Je ne suis pas d'accord avec Zoé. Une personne qui parle de sensiblerie n'est pas forcément exclue de toute sensibilité. C'était le cas de mon père : un homme très sensible au sort des siens mais pas à celui des animaux. Toutefois, il n'y était pas totalement indifférent car il réprimait toute forme de violence mais, pour lui, l'homme passait avant tout. 
    Bisous

    15
    Ely
    Jeudi 22 Octobre 2015 à 21:22

    Je commence à comprendre certaines choses.

    Je n'ai pas fini de "souffrir".

    Merci Béa pour ce partage.

    Bisous

    16
    Samedi 24 Octobre 2015 à 15:25

    nous sommes tous plus ou moins sensibles à certaines choses

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