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Je partage avec vous...
Un salon de toilettage taïwanais propose de « sculpter » la fourrure de votre animal. Mais quelle horreur !!!!!!!!!!
Pauvre minou ! Un chat est si beau avec son pelage naturel...
Qu'en pensez-vous ??? C'est à lire ici
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Ce 8e roman de Marc Levy publié en 2008, je l'avais depuis un certain temps dans ma bibliothèque et je viens de lire. Un bon livre fantastique et romantique à l'écriture simple et légère. En voici la 4e de couverture :
Quelques jours avant son mariage, Julia reçoit un coup de fil du secrétaire particulier de son père: comme elle l'avait pressenti, Anthony Walsh, homme d'affaires brillant, mais père distant, ne pourra pas assister à la cérémonie. Mais, pour une fois, Julia doit reconnaître qu'il a une excuse irréprochable : il est mort.
Julia ne peut s'empêcher d'y voir le dernier clin d'oeil d'un homme qui a toujours eu le don de disparaître soudainement et de faire basculer le cours de sa vie.
Le lendemain de l'enterrement, Julia découvre que son père lui réserve une autre surprise. Le voyage le plus extraordinaire de sa vie... et peut-être l'occasion de se dire, enfin, toutes les choses qu'ils ne se sont pas dites.
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Pour le défi-n-64-thème-la-moisson chez Evy
Voici ma participation en citations :
Il ne faut pas jeter la faux en la moisson d'autrui. (Proverbe français)
La patience, c'est savoir attendre le temps de la moisson pour récolter les fruits. (Antoine de Rivarol)
La démesure, en mûrissant, produit le fruit de l'erreur et la moisson qui en lève n'est faite que de larmes. (Eschyle)
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Lady Marianne propose un petit-jeu-de-lettres-70
Le mot le plus long en anagramme à déchiffrer est : BLEZIMARDER
Terme d'argot de théâtre, signifie se couper mutuellement les répliques, empêcher le voisin de dire sa phrase
Avec les lettres proposées :
faire des mots de 5 lettres au moins et au moins 5 mots
puis les inclure dans un texte sur un thème de votre choix.
Voici mon petit texte : (avec les mots trouvés en gras et en italique) :
Ce mardi-là, Marie,Ambre, Adèle et Amélie, qui travaillaient dans une boutique de vêtements prêts-à-porter, avaient dû s'armer de courage. Il leur avait fallu se libérer sans délai pour se rendre à l'Hôtel de Ville. Les quatre jeunes femmes ne voyaient rien d'idéal , d'avoir à ramer pour le maire qui passait son temps à lézarder au soleil. Elles en avaient marre de l'aider chaque année dans la tâche plus que laborieuse des préparatifs de la grande braderie communale. Diable, qui aurait pu les blâmer de ne pas blairer Emile Damier ? Comment aimer cet homme bizarre, de laide apparence, bouché à l'émeri, abîmé par l'abus de bière et de vin de Madère ? Il évoluait sur une corde raide, comme un merle sur la plus fragile branche d'un arbre, afin de mieux brimer les gens qui l'entouraient. Il prenait un malin plaisir à blézimarder ses interlocuteurs. A faire blêmir les meilleurs comédiens de théâtre qui auraient trouvé à redire !
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