• Noël 2023

     

    Grand merci à mon amie Martine pour le partage de ces belles créations graphiques que vous pouvez retrouver ici L'aube-fleurie/pour-vous-mes-amies


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  • Tableau du samedi 196 :

                                        Illustration de Martine Coppens  © 

                                                    Ne pas copier SVP 

    En mémoire de Lady Marianne.

    Le mot de Fardoise : « En mémoire de Lady Marianne… Déjà 4 ans, le 23 novembre, qu’elle nous a quittés… Elle a fait de ce challenge ce qu’il est aujourd’hui et nous le poursuivrons sous l’intitulé :

    « Le week-end, un thème, un tableau »…

    Chez Fardoise et chez Lilou

    Le tableau du samedi-gourmandise

    J'ai à nouveau choisi une jolie illustration de Martine Coppens Marcats qui est née en 1956 en Belgique

    Voir mon article du 31 juillet 2021 Les-chats-en-fête

    Voir mon article du 12 mars 2022 Boire-un-petit-coup

    Voir mon article du 23 septembre 2023 Mange-ta-soupe

    Ses chats sont si expressifs dans leurs attitudes et mimiques !

    Sa galerie est à voir ici : Facebook/Marcats

    Je remercie chaleureusement Martine, de m'avoir gentiment autorisée à publier  l'une de ses œuvres.

     

    Tableau du samedi 196 :


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  • Le renne compagnon du Père Noël

           Chez les rennes, les femelles, aussi, portent des bois ! ©Adobestock

    Je partage un très article de 30 millions d amis/5-infos-surprenantes-sur-les-rennes-fideles-alliés-du-père-noel

    Qu’on lui préfère le nom de renne (en Europe) ou de caribou (au Canada), le compagnon du Père Noël est doté d’étonnantes caractéristiques physiologiques et d’incroyables capacités qui le rendent unique. 30millionsdamis.fr en a sélectionné un florilège.

    Ses bois majestueux fascinent, son regard perçant envoûte… L’élégance du renne ne fait aucun doute. Mais ce symbole de Noël revêt aussi de multiples talents moins connus. Tour d’horizon ! 

    1. Des bois… majestueux

    L’été, les rennes sont vêtus d’une parure bien singulière : des bois pouvant mesurer 1 mètre 30 de hauteur et peser jusqu’à 7 kg ! Composés de matière osseuse vascularisée, ces attributs peuvent déployer une dizaine de ramifications et autant d’embranchements. Durant la saison des amours, pendant le rut, les mâles usent de leurs plus beaux bois pour dominer leurs congénères et impressionner les femelles. Mais parce qu’ils sollicitent beaucoup d’énergie, ces bois tombent chaque année en automne pour permettre à leur hôte de survivre à la rigueur de l’hiver. Plus surprenant : les femelles, aussi, peuvent revêtir quelques bois, bien que plus petits que ceux des mâles… à moins qu’elles décident de conserver toute leur énergie et ne pas en produire ! 

    2. Des migrateurs… hors-pair

    Souvent qualifiés de « champions de la migration », les caribous peuvent parcourir plus de 6000 kilomètres chaque année. « Ils voyagent environ 55 kilomètres par jour à une vitesse moyenne de 80 kilomètres à l’heure », précise le WWF. C’est au printemps qu’ils entament leur migration vers le nord pour trouver de quoi se nourrir. Lorsque la neige fait son apparition, ils accomplissent le chemin inverse pour établir leur refuge dans des lieux plus abrités. Formés de 10 000 à 100 000 individus, les troupeaux s’étendent alors en file indienne… parfois jusqu’à 300 kilomètres de long ! Malheureusement, les obstacles naturels, tels les fleuves agités ou les bras de mer, complexifient la tâche de ces migrateurs, à leurs risques et périls…

    3. Un regard… changeant !

    Les yeux des caribous changeur de couleur… pour s’adapter à la luminosité qui varie selon les saisons ! En 2013, des professeurs de l’University College de Londres (GB) avaient déjà remarqué que le regard des cervidés révélait un brun doré l’été et une teinte bleutée l’hiver. Dix ans plus tard, ces mêmes scientifiques ont réussi à justifier ce phénomène par le changement de luminosité dans l’Arctique : « Le renne est le seul mammifère connu à adapter ses yeux à la faible lumière bleue du crépuscule prolongé qui occupe une grande partie du cycle hivernal dans son habitat arctique, confirment les universitaires. Confrontés à cette luminosité si particulière, les rennes voient leur sensibilité améliorée par l’adjonction d’une sorte de miroir situé derrière la rétine. » Ce « miroir » leur permet de percevoir des images plus floues, mais plus brillantes ! « Durant l’hiver, la pupille de l’animal est presque toujours dilatée pour capter un maximum de lumière ; (…) les fibres de collagène reflètent ainsi plus de lumière bleue, précisent les chercheurs. Avec une pupille moins dilatée en été, la pression dans le fond de l’œil baisse (…) et les yeux passent du bleu au brun doré. »  

    4. D’excellents… nageurs 

    Si des noyades arrivent au cours des migrations, il n’en demeure pas moins que les rennes demeurent d’incroyables nageurs. Dès leur plus jeune âge, ils peuvent atteindre des vitesses allant jusqu’à 9,6 kilomètres par heure, et ce, sur de longues distances. Cette prouesse aquatique s’explique notamment par deux de leurs caractéristiques physiques. Primo, leurs poils, très légers, favorisent leur flottabilité. Secundo, leurs sabots, très larges, favorisent leur propulsion dans l’eau !

    5. Parés… pour la neige !  

    C’est d’ailleurs grâce à l’adaptabilité de leurs sabots et de leurs poils que les caribous paraissent si à l’aise dans la neige. « Leurs sabots, particulièrement larges, font office de raquettes pour se déplacer facilement dans la neige et les marécages », confirme Anaïd Gouveneaux, docteur en biologie marine. Le bord coupant leur permet d’adhérer aux sols glissants, tandis que les coussinets recouverts de poils facilitent le déplacement sur les sols durs et gelés. « Ils les aident à fouiller dans la neige pour trouver de la nourriture », ajoute le WWF. Sans oublier leur manteau spécial « grand froid » ! En emmagasinant beaucoup d’eau dans les tissus, leur épais duvet de poils, longs et creux, leur sert d’isolant thermique. Même le bout du museau est isolé du froid grâce aux poils qui le recouvrent.

    … Autant de prouesses qui font des rennes les compagnons idéaux de Santa Claus, le Père Noël !


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  • Une douce chanson sur de magnifiques images.

    J'aime beaucoup Katie Melua...

    Et j'ai eu un coup de cœur pour ce clip de toute beauté découvert chez ma copinaute que vous pouvez retrouver ici Pestoune/perfect-world

     


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  • Rougegorge familier

                          Rougegorge familier. Photo : Jean-Louis Schmitt

    Je partage !

    Vous pouvez retrouver l'article chez Jean-Louis ici

    Nature ici ailleurs/un-bruit-qui-court

    Il est alors fréquent d’entendre son cri typique : des « tic tic tic » secs et répétés. C’est aussi l’un des rares oiseaux à chanter quelle que soit la saison. Sa douce mélodie mélancolique s’entend en général tôt le matin ou tard le soir.

    Il est rare d’en voir plusieurs à la fois. Ce solitaire irascible attaque violemment tout congénère qui oserait franchir les limites invisibles de son territoire. Si l’espèce est présente toute l’année en France, les individus observés en été ne sont pas forcément les mêmes que ceux de l’hiver, quand beaucoup de rougegorges nés en Scandinavie ou en Europe de l’Est ont alors migré vers notre pays.

    En avez-vous chez vous ? 

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