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Le chat derrière sa fenêtre (1902)
En mémoire de Lady Marianne
pour le tableau-du-samedi 16- Le thème choisi- Par la fenêtre
J'ai choisi une belle peinture de Konstantin Alekseïevitch Korovine, (dit en français Constantin Korovine ou Constant Korovine), né à Moscou en 1861 et mort à Paris en 1939 qui était un peintre post-impressionniste et décorateur de théâtre russe.
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Je suis triste... Je l'aimais bien...
C'est encore une page de vie qui se tourne...
Le chanteur Christophe est mort mais sa voix reconnaissable entre toutes résonne dans nos têtes.
Retrouvez les succès qui ont marqué nos vies, des années 1960 à aujourd'hui, de "Aline" et "Les Mots bleus" à "Comme Un Interdit" et "Dangereuse".
Aimer ce que nous sommes ( 2008)
Mal comme
Oh oui, oui, mal comme
De disparaître des Hommes
Mal comme Oui, oui, mal comme
Brûler ses yeux sur la lumière
Et tout au bout du jour
Quand il décline
Quand moi, je me ranime
Tu ne deviens plus
Qu'une vapeur diurne
L'anneau de Saturne
Qui me tourne, tourne autour
Personne Non, non, personne
Ne prend jamais plus
La place de personne
Pas plus qu'ici, le bon souvenir
Ne la laisse au mauvais
Et si le temps m'offrait
L'aumône de lui-même
Je l'utiliserais
Encore et bien fait
A aimer ce que tu es
A aimer ce que je suis
En somme
Aimer ce que nous sommes
Et tout au bout du jour
Quand il décline
Quand moi je me ranime
Tu ne deviens plus
Qu'une vapeur diurne
L'anneau de Saturne
Qui me tourne, tourne autour
Et si le temps m'offrait
L'aumône de lui-même
Je l'utiliserais
Encore et bien fait
A aimer ce que tu es
A aimer ce que je suis
En somme
Aimer ce que nous sommes
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Les barrages témoignent de la capacité de l'Homme à maîtriser la nature pour en exploiter sa puissance. Pour la régulation des crues, l’irrigation agricole, l’hydroélectricité ou encore l’alimentation en eau potable, ces ouvrages ont pour but de satisfaire un ou plusieurs besoins simultanés. En effet, ils jouent un rôle structurant dans la gestion de la ressource en eau. Toutefois, plusieurs barrages importants ont, par le passé, connu des accidents majeurs, des ruptures provoquant l'écoulement à l'aval de la totalité du volume d'eau de la retenue avec des conséquences souvent dramatiques dans la vallée...
(Merci à Isa des Chats de mon Coeur)
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Pour le défi-n-68-quel-est-le-dernier-livre-que-vous-avez-lu chez Evy
je vous présente un magnifique petit roman déniché au mois de février, grâce à la boîte à livres mise à la disposition du public sur la place du centre-ville
En voici la 4e de couverture :
Un matin, Louise, excellente élève de terminale S, a un malaise en plein cours de maths. Quelques instants plus tard, elle accouche seule d'un enfant dont elle ne savait rien, qu'elle n'a pas attendu, encore moins désiré. Assaillie de questions, Louise, la jeune fille sans histoires, croit devenir folle. Pourtant l'évidence est là : ce bébé de 3,3 kg, son fils. Comment l'accepter ? Soutenue par sa famille, ses amis et les professionnels qui l'entourent, Louise va découvrir la vérité et réapprendre à vivre.
Pour son deuxième roman, Isabelle Pandazopoulos, révélée par le succès de On s'est juste embrassés, ose aborder avec infiniment de délicatesse un sujet dérangeant et mal connu.
Un roman inlâchable et bouleversant où tout sonne juste.
Isabelle Pandazopoulos est née en 1968 d'un père grec et d'une mère allemande. Devenue professeur de français, sans doute pour le plaisir de partager sa passion des livres et de la lecture, elle a toujours enseigné dans des zones dites difficiles avant de se spécialiser pour travailler auprès d'adolescents en grandes difficultés puis d'élèves en situation de handicap mental. Depuis trois ans, formatrice à l' ESPE, elle consacre le reste de son temps à l'écriture et à l'animation de ses ateliers. Isabelle a trois enfants. Elle habite Paris, qu'elle aime à la folie mais pas autant que sa datcha du Bazois où elle écrit ses livres.
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