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Je est un vieux châtaignier qui s'ennuie à mourir.
Il trouve le moyen de voyager en compagnie d'êtres humains.
Dans ce conte poétique, un brin philosophique,
Hommes, femmes, arbres... tous sont en marche sur le Chemin.
A la première personne, un vieux châtaignier approfondit un lien avec les hommes et les femmes partis sur le Chemin de Compostelle.
"Je marche pour avancer, j'avance pour créer"
A mon arbre de vie, trois branches principales : la céramique, le graphisme et la thérapie, trois branches que je nourris chaque année sac sur le dos et le nez au vent sur le Chemin de Compostelle. Le reste du temps je me pose entre terre et mer, dans mon atelier en Loire-Atlantique.
SOPHIE LATAPPY
Grâce à mon cher cousin Patrick que je remercie chaleureusement, j'ai découvert ces 2 petites merveilles de livres, de cette artiste céramiste-graphiste.
Vous pouvez visiter son site qui est ici
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C’est à coups de pattes «sans les griffes», qu’un trentenaire s’est fait réveiller par son chaton dimanche dernier, ont rapporté nos confrères du Républicain Lorrain. Un geste du matou qui a été salvateur pour son maître. Et pour cause, l’appartement de celui-ci était en train de partir en fumée.
La suite est à lire ici :
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Lady Marianne propose un petit-jeu-de-lettres-55
Le mot le plus long en anagramme à déchiffrer est : STEGANOGRAPHIE
C'est l'art de la dissimulation : (en écriture )
son objet est de faire passer inaperçu un message dans un autre message ;
à une lettre envoyée par George Sand à Alfred de MussetAvec les lettres proposées :
faire des mots de 5 lettres au moins et au moins 5 mots
puis les inclure dans un texte sur un thème de votre choix.
Voici mon texte : (avec les mots trouvés en gras et en italique)
Georgina, qui était professeur de géographie, avait appris que son mari, avait reçu une lettre d'une belle couleur orangée qui avait été déposée au garage où il travaillait . C'était la postière, une senior au physique ingrat, qui l'avait toisée de haut en la mettant au courant. Dans la région, elle était réputée pour être la reine des potins. Georgina n'était pas du genre à s'inquiéter outre mesure, mais elle était loin d'avoir l'esprit apaisé et elle savait que sa soirée ne serait pas sereine. Elle avait senti que cette satanée lettre, qu'elle avait écrite trois semaines auparavant, allait lui causer des ennuis. Comment était-elle arrivée entre les mains de Serge ? Son époux, au caractère entier, allait avoir la hargne et l'accuserait de l'avoir trahi. Elle s'était organisée pourtant pour faire très attention. Et elle avait protégé du mieux qu'elle avait pu son jardin secret. Eprise de Stéphane depuis plusieurs mois, elle lui avait adressé de nombreux messages dont une poésie dans laquelle elle avait utilisé la stéganographie, avec l'espoir que lui seul serait capable de lire entre ses lignes couchées sur du papier orange. Car elle avait toujours eu la hantise que sa correspondance soit découverte... Qui était l'araignée qui l'avait prise au piège ? Peu importait, il ne fallait pas qu'elle se ronge les sangs. Elle ne ferait pas non plus les gorges chaudes des commères de son quartier. Peut-être que c'était un mal pour un bien afin qu'elle se sépare enfin de son égoïste de mari...
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