• Citations de Fernando Pessoa

    La valeur des choses n'est pas dans la durée, mais dans l'intensité où elles arrivent. C'est pour cela qu'il existe des moments inoubliables, des choses inexplicables et des personnes incomparables.

     

    Si je considère attentivement la vie que vivent les hommes, je n'y trouve rien qui la différencie de la vie que vivent les animaux. […] Nous tous, hommes et chiens, chats et héros, puces et génies, nous jouons à exister sans vraiment y penser (car les meilleurs ne pensent qu'à penser) sous l'immense paix des étoiles.

    D'autres citations à découvrir ici :  Fernando-Pessoa


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  • Une vidéo ronronnante !

    A regarder ici

    (Merci à Usa des Chats de mon Coeur)


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  • Une chatte en détresse sauvée d'un toit

                                       La chatte était prostrée. © Photo de Stéphanie

    Une histoire qui se termine bien !

    Coincée sur la toiture d’un immeuble du Mans depuis plusieurs jours, une minette non identifiée a été secourue grâce à l’intervention de la Fondation 30 Millions d’Amis et d’une riveraine qui ne pouvait pas rester sans rien faire. Un sauvetage sous haute tension… La suite est à lire ici :

    une-chatte-sauvée-d'un-toit-après-des-jours-de-détresse


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  • Pas plus tard que l'aurore

    France-de-toujours-et-d'aujourdhui/Pas-plus-tard-que-l'aurore

    Un livre que j'ai pris à la médiathèque et qui m'a beaucoup plu.

    En voici la 4e de couverture :

    « Certains perdent un bras ou une jambe dans cette guerre… Moi, c’est la mémoire…
    – Ainsi vous ignorez tout de votre passé ?
    – Hélas oui, monsieur !
    – Nulle réminiscence ?
    – Pas la moindre bribe… Je suis aussi neuf qu’un bébé qui vient de naître !»

    En mars 1916, dans les tranchées de Verdun, un soldat français amnésique est capturé par les Allemands. Baptisé du nom de Charles Marre, le prisonnier est transféré en France à la faveur d’un échange de grands blessés. À l’hôpital de Toulouse, Charles s’éprend d’une jeune femme de la haute société, engagée comme infirmière volontaire.
    En 1919, la paix revenue, Jeanne Pujol, institutrice et femme d’instituteur, ne peut croire à la mort de son mari, disparu sur le front. Mais après avoir rencontré le capitaine qui commandait le secteur, elle doit se rendre à l’évidence: il est impossible qu’il ait survécu.
    Vingt-quatre ans plus tard, en juin 1940, dans une France qui plonge dans les heures noires de la défaite, Charles est victime d’un accident de voiture. Il recouvre la mémoire perdue… N’était-il pas jadis instituteur en Ariège ?

    Par l’auteur de La Fille de la fabrique, un beau roman tendre et amer qui restitue avec brio les lendemains endeuillés de cette immense loterie du destin que fut la Grande Guerre.


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  • Une note

    Pour le défi-n-58-thème-une-note  chez Evy

    voici ma participation en citations :

    La liberté est une note dans une symphonie. (Sahar Khalifa)

    La solitude, c'est l'indépendance qui présente sa note. (Elisabeth Carli)

    Un monde sans fausse note : c'est une utopie qui chante. (Franck Dhumes)

    Le bonheur, ce n'est pas une note séparée, c'est la joie que deux notes ont à rebondir l'une contre l'autre. (Christian Bobin)


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