• En famille !

    Pas trop présente en ce moment sur la Blogosphère.

    Je n'ai pas trop le temps de passer sur vos blogs.

    J'ai juste programmé des articles.

    Mon fils et sa petite famille venus de Lille sont en Creuse pour la semaine.

    Je profite de Lucie (3 ans et demi) et de Jeanne (10 mois) mes 2 petites-filles.

    Ainsi que de Sylvestre mon petit-fils de 3 ans qui habite à 20 km de chez moi avec son papa et sa maman, ma fille, que je vois beaucoup plus souvent !

    Bon mercredi à vous !


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  • Les arbres se révèlent. Les chercheurs montrent qu'ils sont capables de communiquer et de s'allier pour se défendre. Les arbres sont aussi source de réconfort pour les adeptes de ces bains de forêt qui débarquent en Suisse...

     Voir l'article chez Jean-Louis ici Nature ici ailleurs

     


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  • Des lettres pour un mot mystère 33 -

    Lilou lance « Des lettres pour un mot »

    Chaque lundi les lettres en vrac d’un mot mystère  dont elle donne une définition.

    rappel des règles : vous utilisez les lettres du mot mystère pour construire des mots  de cinq lettres au moins.  que vous introduisez dans un texte de votre choix ou cerise sur le gâteau un texte en rapport avec le mot trouvé.

    Comme prévu, elle nous donne,  pendant cette période estivales des mots que nous avons déjà vu. Pour certains d’entre nous, cela permettra de nous replonger dans vos archives et de nous acagnader sur nos chaises longues, de remixer notre texte  et pour d’autre de découvrir tout simplement…

    mot mystère  10 lettres 

    A A E O B C L L R R

     BARCAROLLE

    nom féminin – Pièce vocale ou instrumentale évoquant le balancement d’une barque, très en vogue à l’époque romantique.

    Vous pouvez utiliser le pluriel quand il existe

    Des lettres pour un mot mystère 33 - Barcarolle

    Voici mon petit texte :

    (Avec les anagrammes en gras et en italique)

    BellaCarlaCarola et Clara Carreo célébraient en grande pompe leur vingtième anniversaire dans un local lumineux situé dans un parc arboré et luxuriant à l'orée d'un lac de jade. Les quadruplées avaient improvisé une barcarolle. Leur père et grand-père, gondoliers vénitiens, étaient ravis...


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  • Tableau du samedi 30 :

                                        Chat dans un chapeau (1929) ©

                                                 Ne pas copier SVP 

    En mémoire de Lady Marianne  

    Chez Lilou  Le-tableau-du-samedi ces-dames-en-chapeau

    J'ai choisi une belle représentation d'une dame chat chapeautée (ou monsieur chat ? Ce n'est pas précisé) de René Magritte.

    René Magritte (1898-1967)  est un peintre surréaliste belge.

    Pour en savoir plus sur ce peintre, voir l'article ici  L'oeuvre du jour

    Tableau du samedi 30 : Chat dans un chapeau


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  • Lettre du coq aux humains déconfinés

     "Coq et vue de Lisbonne avec la basilique Estrela en arrière-plan" (1915)

                            José Maria de Souza Moura Girão (1840-1916)

                                                 ( Source wikimedia)

    Je partage une belle lettre trouvée chez Jean-Louis Nature ici ailleurs

    En cette semaine du 14 juillet, j’ai légitimement voix au chapitre. Ne suis-je pas l’incarnation de la République française ? Notre histoire commune s’est dessinée durant l’Antiquité alors que le mot « gallus » en latin signifiait à la fois le coq et le gaulois. Convenons pourtant que notre relation n’a pas toujours été complice.

    Napoléon m’a effacé, il préférait l’aigle ou les abeilles. Puis me voilà de retour durant la 3ème République. J’orne même la grille du Palais de l’Élysée. À nouveau, vous m’avez délaissé, préférant Marianne pour incarner l’honorable République. Heureusement, il me reste les clubs sportifs qui ne rougissent pas de me prendre pour symbole. De plus, je demeure au sommet des clochers. Avec moi, c’est le retour à la lumière après les ténèbres de la nuit. Mon chant est celui de l’espoir… Cela dit, avant de m’inscrire dans votre histoire, j’ai connu une incroyable épopée. Mes ancêtres fréquentaient les forêts du nord de l’Inde, de la Malaisie et de l’Indonésie. Déracinés, ils se sont retrouvés dans l’Égypte ancienne puis dans la Grèce et la Rome antique avant que nous ne colonisions peu à peu le reste du monde.

    Il faut quand même se souvenir que lorsque vous avez commencé à nous « domestiquer », il y a 6 à 8 000 ans, nous ne pondions que 5 à 20 œufs par an, comme beaucoup d’oiseaux sauvages. Au début du 20ème siècle, vos manipulations génétiques ont conduit à une production de près de 200 œufs dans l’année. De nos jours, certaines races devenues des machines à pondre, en livrent plus de 300 par an. Elles ne savent même plus muer et couver. Transformées en mécaniques biologiques, elles subissent un quotidien insupportable : les becs de nos femelles sont « épointés » au laser pour éviter le cannibalisme dû à la promiscuité. Puis elles sont entassées dans des cages ne leur permettant même pas d’écarter les ailes. De leur vie, elles ne verront jamais la lumière du jour. 5 à 15 % d’entre elles meurent chaque année de ces conditions insupportables.

    Bien que beaucoup d’entre vous ne veulent plus être complices et refusent d’acheter des œufs issus de la souffrance, plus de 57 % des volailles subissent encore ce traitement. Chaque année, vous abattez 40 millions d’entre nous rien qu’en France. Quant au reste du monde, notre exploitation dépasse l’entendement. Savez-vous que de tous les oiseaux qui peuplent la planète, nous sommes les plus nombreux ? Notre population est évaluée à 23 milliards, ce qui représente 71 % du peuple des oiseaux ! Que d’agonie et de tourments pour notre peuple… Quelques initiatives permettent pourtant de nous soulager.

    Les poules ne verront jamais la lumière du jour

    Si nous avons une espérance de vie dépassant les 10 ans, nous sommes le plus souvent abattus dès 18 mois. Il est désormais possible de nous recueillir pour que nous terminions notre existence dans de meilleures conditions. Une entreprise a même mis au point « l’œuf qui ne tue pas la poule » sous le label « Poulehouse ». Il s’agit tout simplement de nous donner une heureuse retraite tout en nous garantissant une existence conforme à nos besoins.

    J’allais oublier de vous parler de nous, les coqs. Notre court destin n’est guère enviable. Jugés inutiles puisque ne pondant pas, nous sommes éliminés. Broyés dans des engins meurtriers, ou étouffés alors que nous ne sommes que des poussins. La gloire du coq est devenue pathétique. Son cocorico s’apparente au chant du cygne…

    Allain Bougrain-Dubourg/Charlie Hebdo (Juillet 2020)


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