Pour passer un bon moment, cette vidéo rigolote rien que pour vous...

Lady Marianne propose un  petit-jeu-de-lettres-232

Le mot le plus long en anagramme à déchiffrer est : CHANCISSURES

Nom féminin - pluriel -moisissures 

Avec les lettres proposées : faire des mots de 5 lettres au moins et au moins 5 mots puis les inclure dans un texte sur un thème de votre choix.

Voici mon petit texte (avec les mots trouvés en gras et en italique) :

Carine  venait de recevoir un carte postale pour le moins inattendue, qui l'avait vraiment prise au dépourvu et l'avait plutôt ahurie. Ecrite à l'encre de Chine, elle représentait une fille aux seins  nus et aux fesses charnues.Henri Cassin, un chasseur  de têtes dans l'usine  où elle travaillait, lui adressait des mots aussi sucrés que salaces. Ce chieur avait un sacré  culot ! Que croyait-il donc ? Qu'elle avait la cuisse  légère ? Ou cherchait-il à se caser ? La prenait-il pour une cruche ? Il ne serait jamais, ni son ami, ni son chéri. Elle le trouvait archi  déplaisant à cause  de ses grands airs. Et elle avait toujours pensé que ce type, bien en chair, chaussé  comme un prince, qui semblait riche  comme Crésus et qui portait des habits trop chics, avait quelque chose à cacher. Peut-être avait-il réussi  à planquer de l'argent en Suisse ? Elle n'allait, ni rester assise  sur sa chaise, ni prendre racine. Elle devait vite réagir et lui répondre. Elle allait lui faire voir de quel bois elle se chauffait. Avant, il fallait qu'elle sorte Cassie, son caniche, même s'il faisait un temps à ne pas mettre un chien  dehors, dans les Causses  du Quercy. Après, elle enlèverait les chancissures  qui étaient apparues sur le mur de sa salle de bains...

              Mutter beim Ankleiden des Kindes  -huile sur toile- (Wikipedia)

Pour le tableau de  Lady Marianne

J'ai choisi cette très belle peinture de Rudolf Epp, peintre réaliste allemand  de l'école de Munich. Le chat observe la scène avec attention !!

Rudolf Epp (1834-1910) est le fils d'un artisan décorateur. Il  entre à l'Académie des beaux-arts de Carlsruhe. Il étudie ensuite à l'école des arts de Düsseldorf. Il est exempté du service militaire obligatoire grâce à ses dons remarqués par le grand-duc Frédéric I^er, dont il fait le portrait plus tard. Il  déménage à Munich en 1863. Il est alors influencé par l'œuvre de Karl von Piloty, directeur de l'Académie des beaux-arts de Munich. Il atteint à cette époque une grande renommée qui ne le quittera point jusqu'à la fin de ses jours, le public appréciant ses peintures de genre  et ses paysages.

(Source Wikipedia)

On dénombre seulement 44 familles Dukha en Mongolie. Cela représente environ 200-400 habitants.

Les Dukha ont développé un lien spécial avec les animaux sauvages : les rennes, les loups, les aigles... 

Un photographe du nom de Hamid Sardar-Afkhami a récemment visité cette tribu disparue et a capturé avec son appareil photo ce qu’il y a vu.

Des images stupéfiantes à voir ici  Vonjour

Mais la la vie nomade des Dukha devient de plus en plus difficile... Il y a de moins en moins de rennes...

Voir l'article ici : 

En-mongolie-les-dukhas-un-peuple-itinérant-qui-doit-changer-ses-coutumes

Merci à Isa des Chats de mon Cœur

Et ne loupez pas cette splendide vidéo

                                                         Eyrolles

Je vous présente un livre des  Lectures de Florinette

Résumé du livre  :

Ana est écologue. Elle analyse l'impact des activités humaines sur l'environnement et la biodiversité. Alors qu'elle exerce son métier avec une exigence passionnée, elle commet un jour une erreur qui la conduit à tout remettre en cause... Elle quitte alors Paris pour rejoindre la vallée de la Clarée où, en même temps que l'enfant qu'elle était, a grandi son amour profond pour la nature. Hébergée par son oncle Pasco qui tient un refuge de montagne, Ana renoue avec ses amis de toujours et retrouve peu à peu le goût de la vie. Les alpages, les torrents, les lacs et les sommets, compagnons familiers du passé, se font les témoins muets de ses doutes d'aujourd'hui. Ana s'apaise et s'interroge : qu'a-t-elle fait de ses rêves d'enfant ? Comment incarner dans sa vie cette harmonie entre homme et nature à laquelle elle aspire ? Au-delà de la communion avec la nature, l'écologie n'est-elle pas ce chemin qui invite à nourrir aussi le lien avec soi-même et avec les autres ?

Éric de Kermel est journaliste et éditeur de magazines de nature dont Terre Sauvage. Il a vécu sa jeunesse entre le Maroc et l’Amérique du Sud, avant de rejoindre la France où son port d’attache est désormais un coin de garrigue du côté d’Uzès. Père de quatre enfants, il met ses mots au service d'un engagement  écologique et humaniste et porte au quotidien la préoccupation de rendre notre monde plus doux et accueillant pour ceux qui l’habitent.

Entretien avec Eric de Kermel à l'occasion de la rencontre entre l'auteur et les lecteurs de Babelio.com le 28 mai 2019. Découvrez les mots choisis par l'auteur pour évoquer son roman 'Mon cœur contre la terre', paru aux éditions Eyrolles.